Marc, Enzo et Félix sont 3 amis d’enfance qui après s’être nourris de nombreux projets musicaux communs ont créé Goodbye Goni lors d’une tournée irlandaise en 2018.
Goodbye Goni, ou autrement dit « au-revoir » « genèse » nous plonge dans nos confrontations intimes à travers un son puissant et fiévreux teinté de rock 70’s.
Ils ont sorti leur premier album Cosmogony en février dernier et comment dire.. Pour une première mise en bouche, c’est du haut niveau dans tous les sens du terme: pouah la claque !
Au programme, 8 titres plus prometteurs les uns que les autres. Les fans des Doors et peut-être même de Radiohead ou encore du tout tout tout début de Muse (en version posée) ne pourront qu’apprécier cet opus totalement hypnotique. Un groupe à découvrir absolument. Un groupe qui va marquer les esprits.
Enregistré entre Paris et le mythique studio Quiksilver de Saint-Jean de Luz, ils ont été assisté par Antonin Boisadan (Alice et moi, Dani Terreur) et ont choisi comme ingénieur du son Perceval Carré (Isaac Delusion, l’Impératrice) et Kenneth Ploquin (Alain Bashung, -M-). Voilà donc peut-être le comment du pourquoi..
Leur 1er clip Mama Blues, ballade hallucinée à travers les quartiers indiens de la capitale voit le jour en novembre 2019 . C’est leur ami d’enfance Clément Vayssières (Clara Luciani, La Femme) qui est derrière la caméra.
Parallèlement ils réalisent le clip du morceau Stonebreaker avec le graphiste Cyril Dosnon (logo de la Philharmonie de Paris) et avec le soutien d’AM art Film, producteur de courts-métrages en lien direct avec l’Art contemporain. Cette ballade visuelle, tournée dans les anciens murs de La Maison Rouge met en scène une danse amoureuse et poétique sur des corps nus dont les paroles du morceau apparaissent en calligraphie body-paintée fluorescente.
Nos coups de coeur : Goodbye Goni, Milky Way, The Rippers.
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